La France et la Roumanie sont des pays qui ont toujours entretenu une relation privilégiée, portée par l’indéniable amour des pays francophone par une grande partie de la population Roumaine. Les valeurs prônées par la Francophonie sont : la paix, la démocratie et les droits humains, la diversité culturelle, la solidarité au service du développement et la diversité des pays qui partagent la langue française. Ces dernières ont incité la Roumanie à rejoindre l’Institution de la Francophonie en 1991, d’abord en tant qu’observateur puis en tant que membre à part entière de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) à partir de 1993.
Alors qu’est-ce qu’un travailleur détaché exactement ? Que se cache-t’il derrière ce terme et quelles en sont les spécificités ? Voici quelques éléments de réponse.
La Roumanie se trouve dans une situation unique : les intellectuels et les élites politiques roumaines ont choisis librement le français comme idiome d’une Europe libre, moderne, et représentante des nations libres. Cette fondation, bâtie sur près de 200 ans de culture et de civilisation communes, est si passionnément préservée qu’elle a su résister aux conditions très précaires que lui ont imposées les années totalitaires.
En effet l’intérêt croissant des Roumains pour la France remonte au XVIIIe siècle, lorsque le prince Fanario dirigeait le régime ottoman. Dans « l’Académie » créée par les Phanariotes, l’enseignement était dispensé en grec et les manuels étaient traduits du français.
Sont concernés ; les publications roumaines de 1771-1772, la traduction de plusieurs ouvrages de Voltaire directement du français, suivie de la traduction en roumain des Aventures de Télémaque de Fénélon en 1772. En 1776, à la suite des réformes éducatives du prince Alexandre Ypsilanti en Valachie, le français devient une matière obligatoire dans les écoles supérieures de Bucarest. Langue de pensée et de culture, le français est porté par les secrétaires des princes régnants de Moldavie et de Valachie.
Aujourd’hui, on compte environ 15% de la population roumaine parlant français partiellement et environ 8% dont le français est parlé courrament, soit environ 3 millions de personnes. On retrouve principalement ces populations francophones dans les grands centres urbains, dans l’Est ( Lasi / Galati / Suceava) ainsi que dans le Sud du pays ( Bucarest / Craiova / Pitesti / Buzau).
L’avantage de la Roumanie en terme de francophonie réside dans le domaine de l’éducation. Même si l’anglais reste le premier choix des Roumains, plus de 1 400 000 enfants choisissent le français comme langue étrangère et le pays compte 8 000 professeurs de français. Cependant même si « Aujourd’hui, tout le monde apprend une forme simplifiée de l’anglais », a déclaré Christophe Gigaudaut, directeur de l’Institut français de Bucarest. Le choix se fait au niveau d’une deuxième ou d’une troisième langue, et c’est là que le français peut entrer en jeu. Plus les Roumains parlent français, plus ils sont ouverts sur le monde. Les pays francophones sont également un atout pour le rayonnement de la Roumanie à l’étranger. «
Intermann est une agence d’interim Franco-Roumaine de travailleur détaché ou de travailleur temporaire en Roumanie pour les sociétés Françaises des secteurs de la construction, de la logistique, du transport, de l’industrie ou de l’hôtellerie/restauration. Du recrutement au logement des travailleurs intérimaires, Intermann s’occupe de tout.
L'adresse de nos bureaux en Roumanie, nous disposons aussi d'un représentant commercial à Toulouse.
Numéro pour les demandes de renseignement commercial en français.
Pour les travailleurs roumains ou besoins opérationnels à l'agence.
Si vous avez besoin de l'établissement d'un devis il est recommandé de remplir la demande sur cette page.